Tout est fait pour que les habitants de la banlieue n’aient pas à sortir de leur quartier en dehors de leur travail. On y trouve donc beaucoup de centres commerciaux réunissant des boutiques diverses et variées. Des restaurants et bars ont bien entendu ouvert dans ces endroits et les enfants privilégiés de l'élite de Port-Réal ont beaucoup de lieux de sorties pour leur samedi ou leurs après-midi sans cours.

La santé a été une priorité lorsque le quartier a été construit, il dispose donc de plusieurs hôpitaux et cliniques privées réputées. Les services les plus à la pointe sont réunis ici pour le plus grand confort des habitants de la banlieue et rien n'est laissé au hasard. On trouve plus de cliniques privées que d'hôpitaux publics, la plupart se trouvant au cœur d'un petit parc pour l'isoler des habitations et de la ville environnante.

Agréables berges, les bords de la Néra forment une belle promenade aménagée où l'on trouve beaucoup de petits monuments érigés en honneur d'anciens rois et personnages célèbres de la ville et des Sept-États. C'est un endroit calme et paisible, il y fait plus frais que dans le reste du quartier grâce à la rivière bien entendu. De nombreux jeunes amoureux s'y retrouvent et les familles viennent y pique-niquer le week-end.

Ce quartier rassemble tous les riches et les puissants qui vivent à Port-Réa,. Qu'ils possèdent des villas sur les bords de la Néra ou une maison dans une des résidences surveillées, aucun d'entre eux ne veut se retrouver mêlé au bas peuple qui vit dans les autres banlieues de la ville. Tout y est absolument hors de prix en terme d'immobilier et les services ont également un coût plus que conséquent.

Les rues de la banlieue sont agréables et larges, bordées d'arbres et de lumière pour le soir, on y voit le plus souvent des voitures de luxe, plus ou moins grosses. Cependant, attention à ne pas y trainer trop tard, les milices privées qui surveillent le quartier n'aiment pas que l'on se balade trop dans le quartier. Des jeunes faisant le mur ont déjà eu des problèmes en se faisant attraper par la milice, qui les avait pris pour des casseurs ou des voleurs.